Le spa est un bain d’eau chaude qui a été utilisé depuis l’antiquité. Depuis cette époque, ses bienfaits et ses vertus thérapeutiques n’ont pas cessé de s’accroître. D’ailleurs, c’est grâce à ceux-ci que le spa s’est très vite popularisé, et qu’il est maintenant possible de l’installer chez soi.
Il est efficace grâce au bain à remous qui provoque l’effet d’un massage naturiste paris. Ce dernier aide à traiter toutes les zones douloureuses du corps, et procure une sensation immense de spa relaxation. Il existe différents types de massage, lesquels possèdent tous des effets bénéfiques pour le plus grand bonheur des utilisateurs.
Le massage hydro-aéro-dynamique
Ce type de massage stimule notamment la circulation sanguine, tout en ciblant les fibres musculaires. Par conséquent, il en résulte un apport de minéraux énergétiques pour l’organisme, ainsi que l’élimination de l’acide lactique, pouvant être responsable en autre de la crampe. Les zones les plus visées par ce massage sont la nuque, les épaules, la colonne, les hanches, les cuisses, et les plantes des pieds.
Le massage de relaxation
Ce sont les bulles d’air contenues dans le bain qui sont responsables de ce type de massage. En effet, scientifiquement parlant, ces bulles d’air apportent une sensation de caresse au niveau de la peau. Cette information sera perçue par le système nerveux, qui se mettra dans un état d’apaisement et de réconfort. Comme quand quelqu’un vous fait un câlin. Ce sentiment va alors se propager au niveau de tout l’organisme.
Un autre facteur entre également en jeu. C’est la température du bain, qui est supérieure à celle de la peau. Cela va alors provoquer une dilatation des vaisseaux sanguins, et une fois de plus, la stimulation de la circulation du sang. Par conséquent, l’activité cardiaque va accroitre.
De même, la sudation provoquée par l’augmentation de la température permet de nettoyer les pores de la peau.
C’est grâce à ces types de massage que le spa apporte autant de bienfaits au niveau physique, mais également au niveau du mental.
